Une année record de participation : la fierté est au rendez-vous pour 470 finissants et finissantes!

Le Cégep de Granby est fier de cette historique collation des grades qui s’est tenue les 10 et 11 juin au centre Notre-Dame. Quatre cérémonies distinctes ont eu lieu afin de célébrer le succès académique d’un nombre record de 470 finissants et finissantes souhaitant souligner en grand la fin de leurs études.

Les finissantes et finissants, plus présents que jamais!

La collation des grades, moment de consécration symbolisant la fin d’un chapitre et le début de nouvelles opportunités, a été l’occasion de rassembler familles, amis et membres de la communauté étudiante pour célébrer. Cette année, en raison du nombre impressionnant de convives qui ont répondu favorablement à l’invitation, il a été nécessaire de doubler le nombre de cérémonies afin d’accueillir tous les invités.

Ce sont plus d’une centaine de personnes diplômées de la formation continue, près de 170 provenant de programmes préuniversitaires et presque 190 de programmes techniques qui ont affiché un sourire fier devant un public tout aussi émotif. L’édition de cette année compte plus d’une centaine de participants de plus que l’an dernier. L’organisatrice de l’événement, Amélie Demers, explique cet engouement par le choix judicieux de tenir la cérémonie en juin (tout juste à la fin des classes), plutôt qu’en novembre de l’automne suivant. Cela implique son lot de défis logistiques, mais le jeu en vaut largement la chandelle quand elle remarque que les émotions sont encore plus vives des personnes fraîchement diplômées.

La fin de rien, le début de tout

Le directeur général du Cégep de Granby, monsieur Yvan O’Connor, qui en était à sa toute dernière cérémonie de collation de grades, a prononcé un discours inspirant, réellement tourné vers l’avenir. «Aujourd’hui, ce n’est la fin de rien, mais bien le début de tout.» Il a invité les nouvelles et nouveaux diplômés à poursuivre leur chemin sur le marché du travail ou à l’université en gardant une place toute spéciale dans leur cœur pour le Cégep de Granby. Il leur a également indiqué qu’ils sont l’avenir et que nous avons besoin d’eux pour changer les choses, les réparer et exercer une pression sur ceux et celles qui résistent encore face à des enjeux tels que les changements climatiques. Il leur a demandé, avec espoir, de redonner à la société tout autant qu’ils ont pu recevoir. Rappelons que monsieur Yvan O’Connor a annoncé dernièrement que son mandat au Cégep de Granby prendra fin en décembre prochain.

Il a aussi profité de l’occasion pour nommer les projets majeurs qui sont en cours de réalisation au Cégep, soit la construction du nouvel Institut technologique, ainsi que celle de nouveaux plateaux sportifs. Il encourage à rester à l’affut de l’essor du Cégep de Granby, « cet important pilier régional ».

Félix Malhaire, un étudiant qui a le vent dans les voiles

Félix Malhaire, finissants du programme Sciences de la nature, a reçu non pas un, mais deux certificats honorifiques lors de la toute dernière cérémonie ce dimanche. Son premier certificat souligne le fait qu’il se soit classé parmi les candidats éligibles à la bourse Schulich Leader. Cette bourse représente le meilleur étudiant en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques à l’esprit entrepreneurial de sa promotion. Il pourrait éventuellement remporter une bourse prestigieuse de 120 000 $. Un second certificat lui a été remis parce qu’il a remporté, pas plus tard que l’hiver dernier, une bourse Loran de 5 000 $, remise à des étudiants qui se démarquent par leur détermination, leur intégrité, leur courage et leur autonomie.

Félix Mallaire debout dans un laboratoire de science

Après avoir reçu fièrement ses deux certificats, Félix a prononcé un discours soigneusement préparé, démontrant toute son ingéniosité et sa finesse d’esprit! Il a fait sourire ses camarades de classe, la salle bondée et toute la communauté collégiale avec une allocation teintée d’humour et d’espoir en l’avenir.

 « Vous savez, au-delà des résultats, ce qui importe véritablement, ce sont les efforts. Et des efforts, je suis loin d’être le seul à en avoir déployé ces dernières années. En effet, si nous quittons les bancs sacrés de l’éducation collégiale, c’est parce que nous avons tous et toutes investi forces et énergies dans nos études. » – Félix Malhaire, diplômé en Sciences de la nature